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Bertrand NAMUR est né à Paris en 1958. Il a fait l’école des Arts Appliqués à Paris, puis il est devenu architecte. 
 
Ses inspirations depuis les années 2000 viennent du Jazz. Il associe peinture et musique  pour une création libre, ce qui l’amène naturellement au mouvement, l’Action-Painting, pour dévoiler le « secret de l’Atelier », et rendre l’art contemporain et en particulier l’Abstraction plus accessible. 
 
Puis, il s’oriente, depuis 3 ans, vers une recherche de la forme multipliée à l’infini, inspiration proche de Support-Surface. 
Cela l'a conduit vers une nouvelle série en cours, Les Initiales. 
 
Action-painting : 
Aquatique (Série années 2006-2012) 
C’est une plongée dans la peinture. 
La peinture totale, totalement libre de toute contrainte, une abstraction musicale inspirée par les musiques que j’écoute : Miles Davis, Enrico Rava,

Jan Garbarek, mais également l’école française de jazz, tel que Nicolas Folmer, Stéphane Belmondo, Géraldine Laurent, Franck Avitabile ou David 
Sauzay. 


Aquatique, c’est une plongée dans un nouvel univers. C’est sans doute pour cela que mes toiles s’intitulent : 
Aquatique, ou Cosmos. C’est le rêve d’ICARE transposé en nageur contemplatif !

 
Et l’Action-Painting, le dripping est juste le moyen technique pour obtenir cette plénitude, ce calme voluptueux, le calme après la tempête, la vision d’un monde inconnu qui existe et perdure sous l’eau. 
Ce monde n’est pas si loin. 
 
Les Initiales (série en cours) : 
Le concept de départ est de prendre mes initiales, et de les répéter à l’infini. 
C’est un prétexte à un univers graphique, proche de la philosophie de support-surface : 
« L'objet de la peinture, c'est la peinture elle-même et les tableaux exposés ne se rapportent qu'à eux-mêmes. Ils ne font point appel à un "ailleurs" (la personnalité de l'artiste, sa biographie, l'histoire de l'art, par exemple). Ils n'offrent point d'échappatoire, car la surface, par les ruptures de formes et de couleurs qui y sont opérées, interdit les projections mentales ou les divagations 
oniriques du spectateur. La peinture est un fait en soi et c'est sur son terrain que l'on doit poser les problèmes. Il ne s'agit ni d'un retour aux sources, ni de la recherche d'une pureté originelle, mais de la simple mise à nu des éléments picturaux qui constituent le fait pictural. D'où la neutralité des œuvres présentées, leur absence de lyrisme et de profondeur expressive.
» 

Claude Viallat 
 

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